Le séminaire 2010 – 2011. « Du divin au divan »

Si je n’avais pas accepté d’être travaillé par quelque chose qui me poussait à écouter l’énigme sans fin du final du Don Giovanni de Mozart, je n’aurais sans doute jamais pu traduire le discours analytique dans les pas de Lacan.
J’ai compris plus tard que le cri de Don juan me faisait passer du divin au divan, en ouvrant son mythe à tous les sens.

Je ne savais pas alors que je m’avançais sur la scène du monde sans la pâle jouissance du masque de fer de l’être dont se réclame Descartes, pour y trouver le pas de Marx et son capital, y saluer mon compatriote Gustave Courbet et « l’origine du monde », questionner l’ordre de l’Eglise et rendre hommage à Freud et Lacan.

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